Peuple congolais souverain primaire, Prince éphémère

Nous vous présentons ici une œuvre de fiction intitulée :

"Peuple congolais, Souverain primaire,
Prince éphémère. Élite congolaise par accident, caisse de résonnance de l'occident".

Il s'agit  d'une Interview fictive de Aigle Blanc accordée à des personnalités illustres de l’histoire de la République Démocratique du Congo.

Les voilà

• Président Joseph Kasa-Vubu

• Roi Leopold II

• Prophète Simon Kimbangu

• Cardinal Malula

• Premier Ministre Patrice Emery Lumumba

• Président Joseph-Désiré Mobutu

• Président Laurent-Désiré Kabila

• Cardinal Etsau

• Cardinal Laurent Mosengo Pasinia

• Président Joseph Kabila Kabange, l’unique survivant.

Chacun d'eux donnera sa version des faits sur l'histoire de notre pays. 

Tout ceci est présenté en langage poétique avec plein de tournures rhétoriques.
Il s’agit de l’autopsie de la situation du Congo,
Depuis les temps anciens jusqu’à l’heure actuelle.
Il est présenté sous un langage poétique et sensuel.
Il ne s’agit pas d’un jeu de loto au modèle bingo.


Cette étude est inscrite dans le cadre l’éveil patriotique,
Et non une analyse systématique de propagande politique.
Le Congo est détenu en otage.
Le congolais n’a plus de passage.
Pour lui, seulement des blocages.
Il vit constamment dans une cage.
Ses richesses font preuve de partage.
Et pourtant il égorge des vieux sages.

Quelle serait sa participation ?
Que faire pour sauver sa situation ?
La solution est une et sans décharge :
Le peuple doit se prendre en charge.
Il est temps de son auto-prise en charge.
Le peuple devra rendre son esprit large.
La prise des responsabilités,
Exige beaucoup de fiabilité.

Extrait :

"Président Joseph Kasa-vubu

Mon Petit-fils Aigle Blanc !
Tu as fréquenté l’école des blancs.
Certes, je suis fier de toi.
Tu te comportes comme un roi.
Mon Petit-fils Aigle Blanc !
Tu as fréquenté l’école des blancs.
Certes, je suis fier de toi.
Tu te comportes comme un roi.

Tes écrits sont forts édifiants.
Restes toujours confiant.
Je te retrace à travers ces mots,
Tout ce qu’on a vécu comme maux.

Il y a bien aussi des traits fascinants.
Ayez juste un œil regardant.
Le Congo est un domaine richement béni.
Le peuple congolais restera toujours uni.
Tout allait pour le mieux.
On vivait en peuple pieux.
Le Congo n’avait pas la configuration actuelle.
On vivait en Royaumes et Empires : c’était belle.

Les conditions de vie étaient excellentes.
La population n’avait pas cette âme chancelante.
Soudain l’hymen a été percé,
Plus jamais, on n’était plus bercé.
L’an 1885 ! Que tu sois maudit !
Tout en nous avait rebondit.
Tu as foulé au pied les préceptes de nos aïeux.
Nous avons honte de leur faire nos adieux.

Berlin ! Berlin !
Tu te fais malin.
Léopold II replace les bornes du Congo,
Ce vaste territoire plein de gens égaux.
Il s’autoproclame le souverain absolu.
Il s’en était pleinement, sans doute, résolu.

Léopold II n’avait jamais vu le Congo.
Il le connait juste par ses acajous.
Il nomma ainsi ses collaborateurs.
Ils s’étaient installés en acteur.
Ces vassaux ont commis beaucoup d’erreurs.
Nous en avons eu assez d’horreurs.
C’est le début du conte sans fin,
Notre être dans peau des incarcérés enfin..."

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