Au service de Venus

Au service de Venus

1. Naissance de Venus

Au commencement on parlait des lettres.
Avec Dieu, les lettres étaient. Et, les lettres
Étaient Dieu. Et Dieu saint créa ainsi le monde ;
Il plaça ici l'homme maître de la terre ronde
.
Dans son vif souci de le rendre très heureux,
Il créa alors la jolie rose dans ce lieu.
Ce petit pieux solitaire sauta de joie,
Comme un vieux lion très affamé devant la proie.

Il y eût en réalité un vrai grand festin
Pour les deux êtres dans le jardin d'allégresse.
C'est l'accomplissement divin du destin.

L'apparition de cette fleur pleine de tendresse,

Traduit le début des effets purs de Venus,
Perturbant le cœur, sans troubler en soi les us.

Depuis ce temps-là jusqu'à nos jours, Venus germe,
Pousse au-dedans de nous comme des fleurs dans l'humus.

Cela crée en quelque sorte un champ magnétique :
« C'est l'attirance réciproque » d'après Remus.

Dans le monde entier tous les êtres en quête
Cherchant du Venus sincère par la prière.
D'autres en trouve après des troubles de tête.
La majorité se trompe faute de rigueur.

Il faut se méfier de la ruse de Eros vulgaire ;
Mais fiez-vous aux gestes dEros d'extra-terre.

Le premier insensé cherche donc son bonheur.
L'autre plein de vertus est de bonne humeur.

Les personnes du monde viennent dun même Père ;
Mais tous ne sont pas conscients de leur unique ère.
Eros vulgaire détruit ; Eros céleste donne vie;
Eros vulgaire aime vivement l’aventure.

Il approche des roses, admire les corps.
Ses convictions fausses inquiètent Aphrodite.
Puisqu’elle le voit débordé, elle s’évade même.
Ces pleurs maudissent l’homme vulgaire si impie.
Elle, fait ses rires à ceux qui honorent Venus :
Venus, modèle pour moi de joie comme chez les Russes.

La joie du Ciel comble de paix l’Eros très pie.
Eros extra-terre, dit aussi céleste, lui,
Prône l’éclat mutuel source du vrai progrès.
Malgré ses bonnes intentions, plusieurs bouchent leurs ouïes.

Mais, rien ne l’empêcherait de chanter en cœur,
Près de Tullia, gain de sa bonté et de son cœur :
« Jamais ! Je ne renoncerait pas à mon gré ».
Il reconnait Aphrodite pour l’espérance.
Celle-ci s’adresse à tous sans voir les races.

Croire en elle, comble l’âme de l’amour parfait ;
Amour plus fort et intelligent est en fée.
Les gens en doigts de fée voient très bien ce feu roux,
Comme si c’était l’incendie d’une auto sans roues.

C’est une excellente faveur d’un amour vrai,
Sans laquelle nos vieux parents en seraient encrés.
L’amour écrit en craie crée  toujours des ennuis ;
Puisque cela s’extermine vite au fil des nuits.

Le vif sentiment repose sur l’encre de chine,
Dure alors beaucoup plus longtemps que le jean.
Il cherche en continu des partenaires,
les compagnons moins sages dans les corridors.

Car seul son but lui importe au-dessus tout ;
Saillant au hasard, sans réfléchir du coup.
Pour Eros vulgaire, seul donc le magnétisme,
Seul l’arrosage du jardin d’Eve importe.

2. L’or n’achète Venus

Les jeeps très luxueuses de la ville n’en procure.

L’or ne gagne l’amour ; c’est bon pour le bien être

C’est comme toute une décoration dans la cure.

« La prière », d’après ma mère, « sauve les êtres.


Je comprends dès lors la force de la parole.

La parole divine détermine nos rôles.

Ce grand apport de port de cieux donne les ailes ».

C’est pourquoi Eros céleste se voit heureux ;


Le bonheur se dessine dans ses beaux yeux creux.

Au jour le jour, ses vieilles plaies s’envolent vite ;

Ce traitement du cœur arrive bien ensuite.


Un tel Eros inspire l’amour dit charnel ;

Et le donne un sens plus humain pour l’éternel.

Il convient de régler les règles de conduite,

Pour éviter donc des réactions assez brutes.


La brutalité appartient aux insensés.

C’est leur manière de dire : « assez ! ».

Or, dialogue, partage amène la paix,

La tranquillité qui lutte contre l’épée.


Bannissez l’épée, source de beaucoup de maux.

Éviter ces agissements qui tuent la peau.

Ses conseils amènent dans la boue pour toujours

Ses lames cherchent donc à nuire tous les jours.


L’homme prudent et sage le découvre de loin,

Et change ainsi de voie, pour sauver ses poings.

Tels furent les stratégies d’Eros céleste,

Un être très habile regardant à l’Est.


Homme, femme insensés se nomment : Eros vulgaire ;

Car Eros vulgaire voit son propre bonheur.

La brutalité appartient aux insensés ;

C’est leur manière de dire : « assez !»


L’autre plein de vertus est de bonne humeur :

Oui, fiez-vous aux gestes d’Eros d’extra-terre.

Un tel Eros inspire l’amour dit charnel ;

Et le donne un sens plus humain pour l’éternel.


Les jeeps luxueuses de la ville n’en procure.

L’or ne gagne l’amour ; mais c’est bon pour les êtres.

C’est comme toute une décoration d’une cure pure.

Seule la prière brûle le cœur sur sa fenêtre.


Venus ne trahit pas, Hypermnestre le sait:

Aimer son prochain pour la vie malgré la peine.

La breveté de la vie n’empêche l’amour :

Chantons, célébrons Venus pour la joie percée,


Et avec les chants d’Erato dans de vastes plaines.

Le cœur ne pleure de joie que dans un climat four.

Les uns avec Terpsichore, les autres Euterpe ;


Tous, célébrons « Venus » puisqu’ils sont en trempe.


Ce n’est pas bon d’aimer seulement des nanties,

Des personnes de haut mérite du parti.


Cette aventure sombre quand l’or disparait.

Dès lors l’exploité(e) se voit froisser sur l’arrêt.


Au contraire, Venus supprime l’or et l’argent ;

Survole race et langue, religion et foi des gens.

Les effets de Venus fait tomber des montagnes ;

Même ses cris font grand-ravage dans des campagnes.



3. Être au service de Venus

Le mystère de Venus est insondable.

Venus a des raisons que la raison ignore.

Le policier X arrête les insolvables ;

Lui-même combattant pris par Aphrodite en or.


Enki déjoua le projet de son vrai père ;

Mais Mars ne parvint à découvrir dans les heures,

Le coup de Venus qui l’emporta malgré lui.

Juste cette foudre, rendit Mars et Silvia cuits.


Une âme aphroditisée dévient sensible,

S’émerveille aussi à la fois dans l’invisible.

Elle est désormais dans un état d’irruption ;

C’est cela qui irrite le cœur sans interruption.


Mon père rencontrant belle Aphy s’évanouit ;

Son cœur brûla alors de feu au-dedans de lui :

André bouleversé, Venus germa à cette suite ;

Il tenta de la baratiner sur la route :


La regardant passionnément comme un chrétien,

Devant la sainte eucharistie qui purifie.

Mais le déboire des baratins passés fit,

De lui un homme réservé dans les entretiens.



Aphy au visage illuminé comme le soleil

Dans un ciel bleu. Ses yeux brillant comme l’ours polaire,

Avec sa peau d’ébène, Aphy était belle sans pareil. 

André choisit Eve cette charmante créature.


Ils s’engagent désormais à s’aimer pour la vie.

Leurs enfants sont alors les témoins de leur amour :

Ange l’ainé, Forgeance la cadette de leur parcours ;

La seconde Mavie, signe de leur fusion en i ;


Giresse, Michael, Fiacre, Brineil viennent ensuite.

Ceux-ci sont les fruits de leur Venus sans fuite.

Mes parents, sourire aux lèvres, se voient heureux ;

Le bonheur se dessine dans leurs beaux yeux creux.


Une telle union inspire Venus dit charnel ;

Et le donne un sens plus humain pour l’éternel.

Il convient de régler les règles de conduite,

Pour éviter donc des réactions assez brutes.


Les jeeps très luxueuses de la ville n’en procure.

L’or ne gagne l’amour ; c’est bon pour le bien être.

C’est comme toute une  décoration dans la cure.

Seule la prière brûle le cœur par la fenêtre.


C’est pourquoi, mes parents souriant, se voient heureux ;

Le bonheur se dessine dans leurs beaux yeux creux ;

Au jour le jour, leurs vieilles plaies s’envolent vite ;

Ce traitement du cœur arrive bien ensuite.



Je comprends dès lors la force de la parole.

La parole divine détermine nos rôles.

Notre manière de faire dépend du ciel.

Ce grand apport de port de cieux donne des ailes.


Une âme aphroditisée devient sensible,

S’émerveille aussi à la fois dans l’invisible.

Elle est désormais dans un état d’irruption ;

C’est cela qui irrite le cœur sans interruption.


Ce vif sentiment repose sur l’encre de chine,

Dure plus longtemps que le jean.

C’est une excellente faveur d’un amour  vrai,

Sans laquelle mes chers parents en seraient encrés.




4. Le serment de Venus

La photo d’Aphy à main, André Mambu s’endort.

Il revit le beau moment aux contes long sans fin,

Les paroles enthousiasmées, atténuant  la faim.

C’était donc un vrai re-play de leurs instants forts :



André


Je réalise donc que je suis très heureux avec toi ;

J’ai été lent à t’approcher, craignant l’amour.

Maintenant que t’es là tout l’espoir est en moi.

Chaque fois que je te vois mon cœur fait l’humour.


C’est ton sourire qui m’attirait sans résistance.

Je me suis approché près de toi sous ta danse.

J’admire alors tes yeux qui m’ont ensorcelé.

Notre amour se mis au cœur de la lune celée.


Nos lèvres se touchant, mon cœur battait chamade.

Maintenant donc, ce n’est plus un feu d’artifice.

C’est le coucher du soleil qui revient chaque jour ;

C’est l’étoile éternelle scintillant de notre amour.


Aphy


Je me suis donc aussi éveillée de ton amour.

J’ai tout de suite su que c’était toi mon four.

C’est toi qui saurait me faire renaitre et chanter ;

T’es seul à me faire construire un monde non hanté.


Cette réalité est douceur et sincérité.

T’es un ange qui a déployé ses belles ailes.

Et me faisant espérer la célébrité.

Je m’abandonne à vivre ce sentiment du Ciel.




André

Des mots d’amour cousu au fil d’or de mes lèvres :

Je t’aime donc de tout mon être sans être ivre.

Je déteste chaque centimètre, chaque mètre,

Qui m’éloignent de toi dans les instants thermomètres.


Si tu cherches au fond de mes yeux endormis,

Tu trouveras ces mots précieux d’amour pour toi.

Le ciel te parlera de mon serment émis ; 

Car il n’y a rien de plus fort que croire en soi.


Mes yeux peignés de patience intime te voir.

Quand tu t’en dors, je me glisse aussi dans tes rêves ;

Je te fais alors des compliments quand j’arrive ;

Je reste donc là près de toi selon mon pouvoir.


Ma bouche devient complice de cette litanie folle,

Que je t’offre au quotidien en terme de diner.

Vivre sans toi, c’est la sécheresse sans fin du sol.

Je t’en veux pour toujours d’un sentiment inné.


Aphy


Je me suis couché et je ne puis reculer :

Incapable de me cacher quelque part.

Mon cœur t’appartient pour ne plus m’isoler.

Je cris vivement au bonheur qui nous empare.


Même si cela me fera par la suite du mal ;

J’accepte courageusement. Ça me soit égal.

Ma vie est en amour, cet amour-sincérité.

Cette sincérité source de bonheur mérité.


Ce bonheur qui fait naître ton sourire parfait ;

Ton sourire, fait vibrer mon cœur plein d’effet.

Tous les jours je te rends un très vibrant hommage.

Je me jette aveuglement à tes pieds sans rage.


Je désire devenir justement ton esclave.

En plus, fais donc de moi tout ce que tu voudras,

Comme jurent les évêques pieux en conclave.

C’est une expression de confiance du lit au drap.



André

De mes pas sombres, le constat fut bien amer.

Mes sentiments furent jadis conduits vers la mer.

J’en étais venu à diaboliser les femmes.

Mais, un jour, je t’ai rencontré ma si belle flamme.


Aphy, tu m’as fait voir la vie différemment.

Tu m’as apporté donc la douceur et la sagesse.

Grâce à toi, j’admets l’existence des vrais amants.

Ma déesse, je ne te trahirai pas en sécheresse.


Je bénis le Ciel de n’avoir fait aucun crime ;

Car, je n’aurai plus savouré un tel bonheur.

Venus m’a bien ouvert les bras dans quelques heures. 

Je savoure de nouveau la belle vie dans ses normes.



Aphy


Après les temps de solitude, t’as pris mon cœur.

Sans toi, je serais morte depuis hier de chagrin.

J’étais prisonnière de mon passé de torpeur.

Actuellement, t’es ma terre fertile, je suis les grains.


Laisse mes mains frôler ton cœur et penser tes plaies ;

Laisse mon souffle te redonner en plus la vie ;

Vois mes yeux perdus dans les tiens, miroir de paix.

Ecoute ensuite le murmure de ma voie ravie.



André


Vois dans mon cœur les oiseaux d’un joyeux ramage ;

En chantant, ils semblent franchement adorer,

Ton amour fou qui vient justement me dorer,

Mon âme et mon être comme les rois mages.



Aphy


Les coqs chantèrent aussi à l’aurore en moi ;

C’est la célébration pure et simple du mois.

Dans mes rêves, des vestales firent allumer du feu ;

Du feu de Vesta qui nous consacre en effet.


André


Des mots d’amour cousu au fil d’or à mes lèvres :

Je t’aime donc de tout mon être sans être ivre.

Si Salomon le Roi avait vécu ce coup,

Il n’aurait pas dû avoir un jardin de roses.


Car seule ta tendresse pourrait à son cœur base.

Il était une personne avec des bijoux sans cou.



Je te fais le serment de Joseph à Marie :

Malgré l’accord de Marie et l’Esprit divin,

Joseph ne la hait point comme chez d’autres maris.

C’est ça la vraie flamme qui exclut le fils du vin.


T’es mon bien privé, je le jure au Père céleste.

Je te défendrai comme la FARDC à l’Est.



Aphy


T’es un ange qui déployé ses belles ailes.

Je m’abandonne à vivre ce sentiment du Ciel.

C’est toi qui saurais me faire renaitre et chanter.

T’es seul à me faire construire un monde non hanté. 



André


Si tu cherches au fond de mes yeux endormis,

Tu verras les images de mon serment émis.

L’amour que tu me donnes c’est un bien que je cache.

Si les prêtres et les séminaristes le sachent,


L’Eglise catholique restera sans clergé :

Tous, prendraient ce bien à la peau de berger.

Ça serait donc pour eux une joie interminable.

J’évite donc cette fin. C’est le vœu du diable.


5. Une Ame Aphroditisée, éprise de Venus


Du fond de l’étang de mon être sort une eau,

Pure et limpide par sa nature distinguée,

Douce et délicieuse par ton action de grâce.

Véritable eau potable, eau immaculée :


La vrai raison de ma confession en classe.

Au contact de mon être, le calme se gagne ;

La joie renait, les pleurs s’éclipsent des sauts.

C’est le début donc de mon univers sans ligne.


Un globe non hanté, laissez-moi dire donc : « la paix ! ».

Etre sans tourment, le désir de tout le temps ;

Moment favorable dit sans angoisse d’épée ;

Véritable cadeau du divin dans l’étang.


Et non l’effet du vin, boisson-clé des Romains :

Quelle illusion, une joie apparente des heures ;

C’est un acquis des insensés saisis des mains ;

Un gain des affamés épris de grande faim ;


Mais une perte pour les académiciens enfin ;

Car tel est le chemin qui mène en enfer.


Chantons, célébrons la paix pour la joie percée.

Les jeeps très luxueuses de la ville n’en procure ;

Seule la prière brûle le cœur de sa parure.

Venus ne trahit pas Hypermnestre le sait.


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